Bien plus qu’un expert comptable à Colmar, un véritable moteur
L’international : pas le bout du monde ?

Actualités

L’international : pas le bout du monde ?

Par Sébastien FORGES,
Dirigeant / Expert comptable
Publié le 1 octobre 2018
En France, 121 000 entreprises font des affaires à l’international. C’est bien ? Mais c’est peu par rapport à nos voisins : l’Allemagne compte trois fois plus d’entreprises exportatrices, l’Italie deux fois plus… Traditionnellement prudents vis-à-vis de l’export, nos entrepreneurs disposent pourtant de nombreux outils pour partir à la conquête du monde…

L’export, mais pour quoi faire ?

Bien sûr, chaque client étranger représente du chiffre d’affaires supplémentaire, donc de nouvelles ressources. Mais ce n’est pas l’unique bonne raison de s’internationaliser. Car les entrepreneurs qui ont fait ce choix innovent plus, ont le moral gonflé à bloc, et vendent également plus… en France. L’export, un cercle vertueux ?

 

Par où commencer votre réflexion ?

Convaincant ? Reste que l’exercice n’a rien d’évident : sur 100 entreprises qui se lancent à l’export, à peine 30 continuent d’exporter l’année suivante. Faute de préparation, souvent, car l’international ne s’improvise pas. Cibler les bons pays, analyser ses forces et faiblesses sur ces nouveaux marchés… Avant la première vente à l’étranger, une solide analyse s’impose.

 

Par qui vous faire aider ?

Compliqué ? Heureusement, de nombreuses institutions sont prêtes à se dévouer pour vous accompagner sur le chemin de l’international. Elles s’appellent BpiFrance, BusinessFrance, la Coface ou tout simplement les chambres de commerce, et toutes ont développé de nombreuses aides et services pour permettre aux entreprises de toutes tailles de gagner des parts de marché à l’étranger. Un ensemble touffu, que votre expert-comptable peut vous aider à débroussailler…

 

Qui envoyer sur place ?

Expatrier un de vos cadres (ou vous-même) ? C’est la solution la plus évidente… et la plus chère : on estime qu’un « expat’ » coûte l’équivalent de trois fois son salaire en France. Moins onéreuse, et encore mal connue des PME (qui représentent moins d’un tiers des utilisatrices de ce dispositif), le Volontariat International en Entreprise (VIE) permet d’envoyer un jeune diplômé pour deux ans maximum défricher le terrain pour vous. Une bonne manière de tâter le terrain à moindres frais…

 

Ces actualités pourraient vous intéresser

En soumettant ce formulaire j'accepte que les informations saisies soient exploitées pour m’envoyer la newsletter.